Retour client

 

Voilà ce que j'ai reçu dans la matinée. Ca fait toujours plaisir !

 

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I have completed your review - look out for the review from SKesh.

However, the review doesn't capture enough of the experience of the day. Thank you so much for an amazing tour. My parents haven't stopped raving about you and Dubai from the time we got back. The tour was just awesome and a million thank yous would not be enough to say how much I appreciate the time you took to make the arrangements and share your knowledge about the history of Dubai.

I hope to visit Dubai again next year and I know who I will be contacting to make arrangements for my next tour.

Take care and God bless you.

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#DUBAI #VISITERDUBAI #GUIDE #TOURGUIDE #GUIDECULTUREL #SEJOURS #EXCURSIONS


#Jetman et l'A380

Une vidéo hallucinante tournée au dessus de Dubai dans laquelle deux membres des SOUL FLYERS se mesurent à un A380 d'Emirates.

Il faut noter que Vincent Reffet et Yves Rossy, les deux protagonistes de cette vidéo, sont Français.


Dubai by drone !

Dubai vue du ciel, de jour, de nuit et comme j'aime !

(Oliver KMIA YouTube channel)


Le Burj Khalifa à Dubai : The spot à selfie !

DUBAI // Etant en quelque sorte la star des attractions aux Emirats arabes unis, c'est sans grande surprise que le Burj Khalifa et ses 828 mètres de hauteur reste un des endroits au monde où un petit selfie peut se faire sans trop de honte ;)

La tour la plus haute du monde, le Burj Khalifa,  a été classée par mi les trois premières atrractions mondiales pour la pratique de l'auto-portrait, avec ou sans stick !

Depuis maintenant son inauguration en janvier 2010, une des attractions les plus visitées de Dubai est en train de devenir un must-do pour "la" photo de vacances d'après un site britannique.

Cette société a analysé 219 millions de posts instagram entre octobre 2010 et janvier 2015 pour en arriver à cette constation (bravo aux stagiaires derrière !!) et seuls la Tour Eiffel (quand même !!) et Disneyland Floride recoivent plus d'attention via le web 2.0 de la photo.

Ce qui interpelle d'abord les maniaques de l'auto-portrait, ce n'est pas le charme incomparable des Parisiennes et de leurs nuances de noir qu'elle manient si bien pour s'habiller, ni Mickey et de son sens du spectacle, non, c'est plutôt une question de taille pour nos photographes à stick !

Avec ses 828 mètres de hauteur, le Burj Khalifa dépasse haut la main l'Empire State building et ses 381 mètres et le très londonien Big Ben et ses petits 96 mètres qui fon à eux trois 1305 mètres et représentent le top du top sur les réseaux sociaux en termes de selfies.

 

C'est donc dit et j'en profite pour vous rapeller que moi aussi j'ai mon compte Instagram ! Il vous fera découvrir les Emirats un peu différement et c'est promis, pas de selfie ;)

https://instagram.com/visiter.dubai/

 

 

 


Dubai, ville n°1 pour le Nouvel An 2016.

Dubai est mondialement reconnue pour ses extravagances lors du Nouvel An avec des feux d'artifices records, des soirées à couper le souffle le tout avec une température de 25°C.

Ce n'est donc pas une suprise si Dubai se retrouve en première place des endroits où se trouver pour fêter 2016.

D'après une étude réalisée par le site Kayak.com, Dubai se retrouver devant des villes comme Chicago, Barcelone, Tokyo ou encore Rio de Janeiro.

Les destinations habituelles comme New York, Sydney ou Londres par exemple ne figurent pas dans ce classement. Il est toutefois utile de comprendre que cette annonce se base sur les tendances de recherches de vol pour cette période de l'année.

Depuis 2014, il est à noter que Dubai comme destination au niveau de l'aérien a augmenté de 70% (cf.  https://www.kayak.com/holidaytravelhacker). Une destination à suivre donc ;)

 

 

 


Les pêcheurs de port Zayed à Abou Dhabi

 

Une série de photo de Mona Al Marzooqi qui témoigne des forts contrastes qui persistent aux Emirats arabes unis.

 


L'ouverture du Louvre Abou Dhabi repoussée

L'ouverture du Louvre Abou Dhabi a été repoussée à l'année 2016.

Initialement prévue pour 2012, l'ouverture avait déjà cété repoussée en décembre 2015.  Ali Majed Al Mansoori, le président du Conseil d'administration du TDIC, a fait savoir que l'ouverture était repoussée ette fois-ci pour la deuxième moitiée de 2016.

Pour mémoire, le TDIC d'Abou Dhabi (Tourism Development & Investment Company) est le développeur de Sadiyaat Island, ce projet pharaonique aux portes de la ville d'Abou Dhabi qui acceuillera, entre autres, le musée Guggenheim d'Abou Dhabi et le Musée national Zayed.

Toute l'attention se concentre désormais sur l'intérieur de la coupole du Louvre d'Abou Dhabi. Autrement dit, l'espace qui acceuillera le futur musée et les collections.

Aucune raison n'a été donnée pour le retard des travaux de ce projet d'un coût de 650 millions de USD qui fait partie d'un plan stratégique visant à développer le tourisme dans l'émirat d'Abou Dhabi.

Mr Al Mansoori n'a pas donné d'autres détails concernant les dates d'ouvertures du Guggenheim Abou Dhabi et du Musée national Zayed mais a annoncé que les futurs prestataires ayant répondu aux appels d'offres pour la construction de ces musées étaient sur le point d'être choisis d'ici la fin de l'année 2015 pour le Musée national Zayed et dans la première moitié de 2016 pour le Guggenheim d'Abou Dhabi.

 


Le mégaprojet des Emirats arabes unis qui avance en silence.

De tous les projets liés aux infrastructures des Emirats arabes unis, il y en a un primordial pour le pays et qui tend à être beaucoup plus discret dans les journaux de ces derniers temps. Ce n'est ni un nouveau centre commercial flambant neuf à Abou Dhabi, ni une nouvelle île articifielle au large des côtes de Dubai, et encore moins une nouvelle tour plus haute que les autres.

Ce projet est en cours de construction à Barakah, à deux heures de voitures à l'ouest d'Abou Dhabi. Quand ils seront en état de fonctionner, les quatres réacteurs de l'unique centrale nucléaire des Emirats arabes unis produira à elle seule le quart des besoins en electricité du pays.

En 2010, beaucoup furent étonnés de voir le Président sud-coréen de l'époque, Lee Myung-bak, arriver à Abou Dhabi et signer un contrat de 20 miliards de USD (qui sera revu à la hausse plus tard atteingnant les 30 milliards de USD) pour la construction d'une centrale nucléaire remportant le marché haut la main par rapoprt aux autres conccurents l'un français et l'autre américano-japonais. L'offre sud-coréenne avait un bon dossier mais un manque d'expérience à l'export et l'idée que les Emirats arabes unis allaient favoriser des pays avec qui ils entretenaient des relations de premier ordre, tant sur le plan politique qu'économique.

Il ne vas pas sans dire qu'avec un peu de recul, le consortium sud-coréen en charge de la construction des réacteurs de Barakah a permis à l'autorité emiratie en charge du nucléaire (ENEC) de se dire qu'elle avait fait le bon choix. Avec 50% du projet terminé au début du mois de septembre 2016, le premier des quatre réacteurs devrait être raccordé au réseau d'ici 2017. Malgré une concurrence prompte à dénoncer l'inexpérience du constructeur, le programme nucléraire civil émirati avance d'un bon pas par rapport à d'autres programmes plus ambitieux techniquement.

Avec un prix de 30 milliards de USD, l'économie réalisée par les Emirats arabes unis est très intérréssante car comparée aux 7 milliards de USD (selon la banque Standard Chartered  et uniquement pour 2016) d'économiese  liés à la dérégulation des prix du carburants aux Emirats arabes unis (mesure en vigueur depuis aout 2015. PLus de prix fixe mais un prix indexé sur le marché mondial. Pour le moment, le prix du litre d'essence reste encore cheap mais ça peut changer à moyen/long terme), le nucléaire s'en sort très bien d'un point de vue des chiffres.

A l'heure actuelle, la forte demande d'Abou Dhabi en production d'énergie est à 99% faite avec du gaz dont réalisée un bon tiers avec du gaz en provenance du Qatar. De même que les Emirats arabes unis prévoient en parallèle de leur programme nucléaire civil un programme d'energie renouvelables qui fournirait 24% de l'énergie totale du pays.

Le top de l'énergie renouvelable est d'ailleurs en cours d'experimentation du côté de la frontière Dubai Abou Dhabi et concerne la désalinisation solaire. 4 projets sont en cours d'après The National et une telle technologie pourrait être commercialisée et co-developpée en partenariat avec Masdar.

 Les Emirats arabes unis sont-ils en train de trouver des solutions à leur futur énergétique ? Bien sûr certaines problématiques doivent encore être résolues, d'autres trouvées et comparé aux difficultés le la politique energétique du royaume saoudien par exemple, les choix des Emirats arabes unis en la matière semblent avoir été judicieux.

Le Louvre Abu Dhabi : une étape cruciale dans l'avancement des travaux.

Le Louvre Abou Dhabi // Sur un projet aussi complexe d'un point de vue technique, le moindre achèvement se fête !

Avec la mise en place de la dernière des pièces du puzzle du sensationnel toit du Louvre d'Abou Dhabi, la chorégraphie complexe des grues aura duré 424 jours et nécessité 30 millions d'heures de travail cumulées au total.

La face interne du dôme est toujours en travaux et pour les chanceux de passage au dessus de la structure, la face externe est désormais terminée.

C'est donc dans une ambiance assez spéciale que Jean Nouvel, l'architecte du projet, Ali Majed Al Mansouri et Sufian Hasan Al Marzooqi, tous deux à la tête du TDIC ont assisté à cette petite cérémonie mettant fin à la construction d'une partie du toit du futur Louvre Abu Dhabi.

Mesurant 49 mètres carrés et pesant 415 kg, la fixation de la dernière étoile des 7850 mises en place qui composent les huit couches de la coupole de 180 mètres de diamètre du Louvre Abu Dhabi annonce la fin d'une étape.

La canopée du Louvre Abu Dhabi vient en effet baigner l'intérieur du musée d'un effet de lumière proche d'un kaléidoscope créé par le mouvement naturel du soleil et du passage de ses rayons à travers les huit couches de la structure du dôme ajoutant un effet poétique et photographique aux travaux encore en cours sous la coupole.

Maintenant que les 4481 pièces de la surface externe de la coupole ont été mises en place, les équipes responsables de sa construction s'affairent au quatre couches internes du dôme.

Quand cette dernière partie sera terminée, elle viendra rajouter 2000 tonnes d'acier à la structure déjà existante.

Avec ses 565,5 mètres de circonférence et composé de 400 000 éléments, le toit du Louvre Abu Dhabi repose sur 4 tours intégrées au musée créant une impression de légèreté pour une structure de plus de 7000 tonnes.

A voir lors d'une visite privée en français d'Abu Dhabi !


Sheikh Zayed et les origines de la protection de l’environnement aux Émirats arabes unis

ABOU DHABI // Dans les années 1990, les scientifiques dont le terrain d’étude était le désert furent surpris de découvrir des enclaves remplies d'animaux sauvages malgré le fait que les zones protégées n’existaient pas officiellement.

Le professeur Robert Kneward travaillait en 1991 sur un programme de réintroduction des faucons pour le Centre national de recherche aviaire qui deviendra par la suite l'agence environnementale d'Abu Dhabi.

"Les biologistes ont appris avec étonnement que la vie sauvage à certains endroits était très développée."

Au même moment et à travers le reste du Golfe, les animaux sauvages étaient sur le déclin à cause de la chasse et la la croissance de la population humaine.

Le professeur Kenward découvrit plus tard la raison pour laquelle les EAU semblaient être épargnés trouvait son origine daas la volonté d'un homme : Sheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan.

"Il y a environ 40 ans, il mis en place une série d'expériences car il constata une certaine pression sur les plantes désertiques qui permettaient aux animaux de brouter".

"Bien qu'il n'était pas scientifique à proprement parler, il fit preuve d'un extrême bon sens".

Au début des années 1970, Sheikh Zayed fit ériger des clôtures afin de fermer certaines zones désertiques et de les préserver des ruminants locaux. Le professeur Kneward nous rappelle aussi qu'au même moment la pression démographique influença la production agricole qui n'avait pas d'autres choix que d'augmenter et la chasse mettait les réserves à rude épreuve entrainant un dégradation de la vie sauvage.

"Très souvent, de très petits changements peuvent être à l'origine du retour de la vie sauvage."

A ce moment, les relations entre Sheikh Zayed et les chasseurs furent assez vives et il réussit à faire passer ses idées.

"Les chasseurs sont après tout et dans une certaine mesure les meilleurs protecteurs de l’environnement."

Sheikh Zayed en profita alors pour mettre en place des réserves naturelles protégées informelles afin de préserver les houbaras nous rapporte le directeur général du Fond international de protection des houbaras, Mohamed Al Badaini.

Pour lui, Sheikh Zayed savait que ces oiseaux étaient en sérieux danger et une de ses premières mesures dans ce domaine fut de demander au fauconniers de fermer les zones concernées afin de permettre de protéger et de réintroduire l'espèce petit à petit.

"Sheikh Zayed avait une vision et savait par exemple que les houbaras allaient disparaitre."

"Sachant aussi que les chasseurs s'étaient mis à chasser les houbaras de plus en plus proche de leurs zones de reproduction, Sheikh Zayed a sonné l'alarme en quelque sorte".

Selon M. AL Badaini, Sheikh Zayed n'était pas seulement conscient du fait que l’espèce pouvait s'éteindre mais aussi du fait que la non protection des zones de reproductions accentueraient ce processus.

La vitalité et la diversité de la vie sauvage aux Emirats arabes unis, principalement désertique, trouve donc une partie de son origine dans la connaissance que Sheikh Zayed pouvait avoir de son environnement naturel et les résultats positifs d'aujourd’hui quant à la préservation des espèces locales doivent être mis au crédit d'un homme Sheikh Zayed et aussi d'un pays entier qui a bien voulu suivre la mise en place de ses idées.