Comment Créer une société et obtenir la résidence à Dubaï

Vous vous demandez sûrement par où commencer pour créer votre société à Dubaï sans vous noyer dans l’administration locale ni commettre d’erreurs regrettables avec les...

Justine de visiter Dubai autrice
Justine Blanc
Reunion pour creer une société a dubai

Vous vous demandez sûrement par où commencer pour créer votre société à Dubaï sans vous noyer dans l’administration locale ni commettre d’erreurs regrettables avec les autorités ? Nous avons justement compilé le guide complet pour transformer ce défi apparent en une simple formalité, en vous orientant pas à pas vers la structure juridique idéale, que ce soit en Freezone ou en Mainland. Préparez-vous à découvrir les astuces concrètes pour sécuriser votre expatriation, éviter les pièges fiscaux coûteux et enfin saisir la différence entre visa et résidence fiscale pour dormir sur vos deux oreilles !

Le choix stratégique : freezone ou mainland ?

La société en freezone : la voie royale pour l’international

Une société en zone franche (Freezone) est une structure offshore spécifique située dans des zones dédiées. Elle vous garantit une propriété étrangère à 100%, un atout majeur pour garder le contrôle total. C’est la liberté absolue.

C’est le format idéal pour le commerce international, l’e-commerce, la tech ou le conseil. Obtenir votre visa de résidence devient une formalité administrative simple et rapide. On comprend vite pourquoi s’expatrier à Dubaï attire tant de monde.

Bref, si votre business vise l’international, c’est la solution de prédilection. Vous évitez les lourdeurs locales inutiles.

La société mainland : pour conquérir le marché local

La société Mainland s’enregistre directement auprès du Department of Economic Development (DED). Elle vous permet d’opérer librement sur tout le territoire émirien. Aucune frontière commerciale ne vous arrête.

Au fait, l’obligation d’un sponsor local a disparu pour la majorité des activités. Vous profitez désormais de 100% de propriété étrangère, une véritable révolution juridique. C’est une information capitale.

C’est le choix incontournable pour viser les marchés locaux ou les contrats gouvernementaux. Votre visa de résidence en découle logiquement, une étape souvent gérée par le Clemenceau Group.

Tableau comparatif : freezone vs mainland en un coup d’œil

Ce tableau vous aide à visualiser les différences fondamentales entre ces deux options. Vous pourrez ainsi faire le bon choix. Regardons ça de plus près.

CritèreSociété FreezoneSociété Mainland
Propriété100% étrangère autorisée100% étrangère autorisée (pour la plupart des activités)
Zone d’activitéLimitée à la zone franche et à l’internationalTout le territoire des Émirats Arabes Unis
Accès aux marchés locauxIndirect (via un distributeur local)Direct
Obtention du visaOui, lié à la licenceOui, lié à la licence
Coût de création moyen6 000 – 15 000 AED12 000 – 20 000 AED
Idéal pour…E-commerce, conseil, trading internationalServices locaux, commerces, contrats gouvernementaux

Le choix dépend entièrement de la nature de votre projet. C’est l’étape clé pour réussir votre combo société résidence dubaï.

Le processus pas à pas : de l'idée à la licence

Les étapes clés de la création de votre société

On pourrait croire que c’est un casse-tête, mais non. Avec des experts comme Clemenceau Group, le chemin est balisé. C’est une mécanique précise qui ne demande qu’une bonne préparation.

  1. Définir l’activité commerciale et trancher entre Freezone ou Mainland.
  2. Rassembler les documents, notamment passeport et justificatif d’adresse.
  3. Réserver le nom commercial et décrocher l’approbation initiale.
  4. Récupérer la licence commerciale une fois les frais réglés.
  5. Enclencher la demande de visa de résidence.

Ne brûlez pas les étapes. Chaque validation conditionne la suivante. C’est du bon sens, mais on l’oublie vite.

Les documents à ne surtout pas oublier

Vous voulez perdre trois semaines bêtement ? Un dossier incomplet reste la cause numéro un des retards. Les indispensables sont clairs : copies de passeport valides pour chaque actionnaire, photos d’identité récentes et un justificatif de domicile solide.

Selon votre secteur, on peut vous réclamer un business plan ou vos diplômes attestés. Mieux vaut prévoir trop que pas assez pour votre projet de société résidence dubaï.

Un conseil d’ami : faites des copies numériques de tout. C’est votre assurance tranquillité.

Délais et réalités du terrain

Parlons vrai sur le timing. Pour une structure en Freezone, si votre dossier est carré, comptez 5 à 10 jours ouvrés. C’est rapide, efficace et sans mauvaise surprise.

En revanche, pour une Mainland, la machine est un peu plus lourde. Le processus s’étire généralement entre 2 et 4 semaines. Là, la patience est vraiment de mise.

Attention, ces délais concernent uniquement la création de la structure, pas encore l’obtention de votre visa.

L’option offshore : une fausse bonne idée ?

On entend tout et n’importe quoi sur la société Offshore. Elle est enregistrée aux EAU, certes, mais ne permet aucune activité locale. Le piège ? Elle ne donne pas droit à un visa de résidence.

Oubliez cette option. L’ouverture d’un compte bancaire relève du parcours du combattant et ces structures sont dans le collimateur des régulations anti-blanchiment. À vous de voir, mais c’est risqué.

creer une société a dubai avec clemenceaugroup (1)

Sécuriser sa résidence : le visa et l'Emirates ID

Une fois votre licence en poche, la course n’est pas terminée. La prochaine étape est tout aussi capitale : obtenir votre droit de séjour.

Du permis d’entrée au visa de résidence

Avec votre licence de société résidence dubaï, on demande d’abord un « entry permit ». Ce document temporaire, valable environ 60 jours, vous autorise à entrer sur le territoire pour finaliser les démarches.

Sur place, pas d’échappatoire : vous devez passer les tests médicaux obligatoires. Cela inclut une prise de sang et une radio des poumons, suivies de la capture de vos données biométriques. C’est le passage obligé pour tout le monde.

Une fois ces étapes validées, le visa de résidence est enfin estampillé dans votre passeport, généralement pour une durée de 2 ans.

L’Emirates ID : votre véritable passeport pour la vie à Dubaï

On pourrait penser que le passeport suffit, mais non. L’Emirates ID est votre carte d’identité locale indispensable. C’est littéralement le document le plus important pour gérer votre quotidien ici.

Oubliez votre passeport au coffre. Sans Emirates ID, vous ne pouvez ni ouvrir un compte bancaire, ni louer un appartement, ni même souscrire un abonnement téléphonique.

La demande se lance simultanément avec celle du visa. Une fois approuvée, cette précieuse carte est envoyée directement par courrier à votre adresse ou à celle de votre agent.

Soyons clairs : tant que vous n’avez pas cette carte en main, vous êtes administrativement bloqué pour la quasi-totalité des démarches essentielles.

Sponsoriser sa famille : le regroupement familial

C’est un avantage majeur de l’expatriation via l’entrepreneuriat : vous avez la possibilité de sponsoriser sa famille. Votre conjoint et vos enfants peuvent ainsi obtenir leur résidence grâce à votre statut.

Attention, il y a des règles. Vous devez justifier d’un salaire minimum (4 000 AED pour la famille proche) et fournir la preuve d’un logement adéquat via un contrat de location enregistré.

Notez bien que chaque membre de la famille devra, lui aussi, traverser le processus de visa et d’Emirates ID.

Les autres portes d’entrée : les différents visas

Créer sa boîte n’est pas l’unique solution. Il existe d’autres options comme le visa de travail classique ou l’investissement immobilier. D’ailleurs, il est bon de connaître les différents types de visa pour Dubaï avant de se décider.

Pourtant, nous nous concentrons ici sur la voie entrepreneuriale. Pourquoi ? Parce qu’elle offre le plus de contrôle et de flexibilité pour un porteur de projet qui veut maîtriser son destin aux Émirats. 

L'alternative freelance : plus léger, mais tout aussi valable ?

Monter une société complète peut sembler lourd pour une activité solo. Heureusement, Dubaï a pensé aux indépendants.

Le statut freelance, c’est quoi au juste ?

Pour faire simple, le statut de freelance est une licence personnelle qui vous permet d’exercer en votre nom propre. Vous n’avez pas besoin de créer une structure morale complexe pour opérer. C’est votre nom qui devient votre marque légale.

C’est une option très prisée proposée par certaines zones franches comme Dubai Media City ou Internet City. Elle est idéale pour les consultants, les créatifs ou les experts de l’informatique qui travaillent seuls. On parle ici de vendre une expertise.

C’est incontestablement la solution la plus rapide et la moins coûteuse pour démarrer. Votre budget initial s’en portera mieux.

Avantages et inconvénients par rapport à une société

L’avantage principal réside évidemment dans le coût de lancement plus faible et des démarches administratives allégées. Vous aurez beaucoup moins de paperasse à gérer au quotidien. C’est moins de frais fixes à sortir chaque mois.

Mais attention au revers de la médaille : la protection juridique est moindre car il n’y a pas de séparation de patrimoine. De plus, ce statut ne permet généralement pas d’embaucher du personnel pour vous épauler. Vous ne pourrez pas déléguer facilement.

C’est donc un choix pertinent pour un projet solo qui compte le rester. Si vous voulez grandir, ça coincera.

Obtenir sa résidence en tant que freelance

Contrairement aux idées reçues, le permis freelance permet bien d’obtenir un visa de résidence aux Émirats. Le processus reste très similaire à celui d’un créateur d’entreprise classique. Vous aurez accès aux mêmes droits de résident.

La principale condition supplémentaire, et pas des moindres, est de souscrire une assurance maladie valide conforme aux normes de la DHA. C’est non négociable pour valider votre dossier. Ne négligez surtout pas ce point.

Sachez que le visa obtenu permet aussi de sponsoriser sa famille. Vos proches peuvent donc vous rejoindre.

Pour qui est-ce vraiment fait ?

Le candidat idéal est un consultant, un développeur web, un designer ou un coach qui facture ses services. Il n’a besoin ni d’employés sous sa responsabilité ni d’un grand bureau physique pour opérer. La liberté est son moteur principal.

En revanche, si le projet a vocation à grandir, à embaucher ou à lever des fonds, il faudra de toute façon passer à une structure de société résidence dubaï. Le freelance n’est pas fait pour scaler.

freelance a dubai

Parlons argent : coûts, fiscalité et compte bancaire

Que vous visiez une société résidence dubaï ou un statut freelance, la question financière est centrale. Voyons ce que cela implique concrètement pour votre portefeuille.

Le budget à prévoir pour la création

Les frais de licence varient énormément selon la nature de votre projet. On parle ici de moyennes constatées sur le marché actuel. Ne prenez pas ces chiffres pour une vérité absolue.

Pour une Freezone, prévoyez généralement entre 6 000 et 15 000 AED. Une structure Mainland demande un budget plus conséquent, souvent entre 12 000 et 20 000 AED. C’est un investissement.

Il faut aussi ajouter les frais de visa et votre Emirates ID. L’accompagnement par des experts comme Clemenceau Group représente un coût supplémentaire.

La fiscalité à Dubaï : le point sur la situation

La nouvelle Corporate Tax change la donne pour les entrepreneurs. Vous profitez de 0% d’impôt sur les bénéfices jusqu’à 375 000 AED. C’est un avantage énorme pour démarrer sereinement votre activité. Ce seuil protège efficacement les petites structures.

Au-delà de ce seuil, la règle change radicalement. Un taux de 9% s’applique uniquement sur la part des bénéfices qui dépasse 375 000 AED. Cela reste très compétitif.

  • Impôt sur le revenu personnel : Toujours 0%.
  • TVA : 5% sur la plupart des biens et services. Inscription obligatoire si le CA annuel dépasse 375 000 AED.
  • Impôt sur les sociétés : 0% jusqu’à 375k AED de bénéfices, 9% au-delà.

Attention, ne faites surtout pas l’erreur d’ignorer l’administration. L’enregistrement auprès de la Federal Tax Authority (FTA) est obligatoire. Même si vous êtes en dessous du seuil.

L’ouverture du compte bancaire professionnel : le parcours du combattant ?

On entend tout et son contraire sur les banques. Ce n’est pas un parcours du combattant, mais cela demande une préparation minutieuse. Oubliez l’improvisation si vous voulez réussir.

Les banques sont devenues très strictes sur la conformité. Elles exigeront de voir la licence, les passeports, les visas et un business plan solide. Tout doit être cohérent.

L’Emirates ID est le document final qui débloque le processus. Sans lui, vous n’avez aucune chance d’aboutir.

Comptabilité et obligations annuelles

Beaucoup pensent à tort que « pas d’impôt » signifie « pas de compta ». C’est faux. Tenir une comptabilité rigoureuse est une obligation légale stricte pour toutes les sociétés. Vous devez impérativement tracer chaque flux financier.

Chaque année, il faut renouveler sa licence commerciale et payer les frais associés. De plus, pour beaucoup de sociétés, il faut produire un audit comptable. Ne négligez jamais ces coûts récurrents.

Le piège à éviter : visa de résidence vs. résidence fiscale

Vous avez votre société, votre visa, votre compte en banque. Vous pensez être tranquille ? Attention, le plus subtil reste à venir, surtout si vous êtes Français.

La confusion que tout le monde fait

Le visa lié à votre société résidence dubaï est un titre administratif délivré par les Émirats. Il vous offre le droit légal de vivre à Dubaï. C’est un permis d’entrée. Mais ce n’est pas un bouclier fiscal.

La résidence fiscale est une réalité factuelle déterminée par la France. Elle ne dépend pas de votre carte de résident émiratie. C’est l’administration française qui décide selon ses propres règles.

Avoir l’un ne garantit absolument pas l’autre. Ne mélangez surtout pas ces deux concepts.

Ce que regarde le fisc français

Le fisc français utilise des critères très précis pour vous garder dans ses filets. Il suffit de remplir une seule condition pour rester imposable en France. C’est un piège classique. Beaucoup d’entrepreneurs tombent dedans par ignorance.

Ils regardent si votre foyer familial reste en France. Ils vérifient votre lieu de séjour principal sur l’année. Ils analysent surtout le centre de vos intérêts économiques.

Penser qu’un visa de résidence à Dubaï suffit à échapper au fisc français sans couper les liens avec la France est la plus grosse et la plus coûteuse des erreurs.

C’est ce dernier point qui est le plus scruté pour les entrepreneurs. Si votre argent vient majoritairement de l’Hexagone, c’est risqué. Le centre de vos intérêts économiques ne doit pas être français.

Le Tax Residency Certificate (TRC) : la preuve ultime

Le Tax Residency Certificate est votre seule véritable protection. C’est un document officiel émis par la FTA émiratie. Il atteste formellement de votre résidence fiscale aux EAU. Sans ce papier, vous êtes vulnérable.

Pour l’obtenir, vous devez prouver une présence de 183 jours minimum. Il faut aussi justifier d’un logement permanent sur place. C’est le document qu’il faudra brandir en cas de contrôle fiscal.

Les risques d’une expatriation mal préparée

Une double résidence non déclarée entraîne des conséquences lourdes. Vous risquez un redressement fiscal massif avec des pénalités sévères. La France vous imposera alors sur vos revenus mondiaux. C’est un scénario catastrophe.

Le jeu n’en vaut clairement pas la chandelle. Une expatriation fiscale doit être totale et sans aucune ambiguïté. Faites les choses proprement ou ne partez pas.

residence a dubai avec clemenceaugroup

Finaliser sa sortie de France : les démarches à ne pas manquer

Couper le cordon fiscal avec la France n’est pas une simple déclaration. C’est un processus formel qu’il faut suivre à la lettre pour être en règle.

L’année du départ : la déclaration 2042-NR

L’année suivant votre départ, vous devrez remplir un formulaire bien spécifique. Il s’agit de la déclaration 2042-NR pour les non-résidents. Ce document administratif officialise votre changement de statut fiscal. On ne peut que vous conseiller de le faire sérieusement.

Ce formulaire sert à déclarer vos revenus perçus en France du 1er janvier jusqu’au jour J. C’est la photo finale de vos gains avant votre départ. Ne négligez aucun détail ici.

Vous devez aussi y inscrire votre nouvelle adresse à l’étranger. C’est une étape obligatoire.

L’Exit Tax : qui est concerné ?

Parlons maintenant d’un sujet qui fâche souvent : l’Exit Tax. C’est un impôt direct sur les plus-values latentes de vos portefeuilles de titres. Beaucoup ignorent son existence avant de partir.

Voici les conditions précises pour être touché par ce dispositif. Vous avez été résident fiscal français six années sur les dix dernières. Vous détenez un portefeuille de plus de 800 000 €. Ou alors, vous possédez 50 % du capital d’une société.

C’est une mesure anti-évasion fiscale redoutable. Elle peut vous coûter très cher si elle n’est pas anticipée correctement.

Prouver sa nouvelle vie : les actions concrètes

Remplir des formulaires ne suffit pas toujours aux yeux de l’administration. Il faut prouver que le centre de votre vie est bien à Dubaï. C’est du concret qu’il faut fournir.

  • Résilier vos abonnements français comme le téléphone ou la salle de sport.
  • S’inscrire rapidement au consulat français de Dubaï.
  • Utiliser votre compte bancaire émirien pour toutes vos dépenses courantes.
  • Conserver précieusement les factures de votre logement à Dubaï.

Chaque élément constitue une preuve solide pour votre dossier. Cela renforce votre position en cas de questions pointues du fisc.

Se faire accompagner : la clé de la sérénité

Ce sujet reste complexe et les pièges sont nombreux. Les réglementations changent vite et les erreurs se paient souvent au prix fort. Personne ne peut vous promettre de résultats garantis à 100 %. La vigilance est donc de mise.

Pour gérer la société résidence dubaï et la sortie fiscale, l’improvisation est risquée. S’appuyer sur des experts comme Clemenceau Group n’est pas un luxe. C’est une nécessité absolue pour votre tranquillité.

Se lancer à Dubaï, c’est bien plus que de la paperasse : c’est le début d’une nouvelle vie. Vous avez désormais toutes les clés en main pour réussir votre expatriation sans stress. Alors, prêt à transformer votre projet en réalité ? Nous sommes là pour vous accompagner à chaque étape de cette belle aventure entrepreneuriale.

FAQ

Combien faut-il réellement investir pour créer sa société à Dubaï ?

C’est souvent la première question que nous recevons, et la réponse dépend vraiment de la structure choisie. Pour une société en Freezone, idéale pour les services internationaux, comptez généralement entre 6 000 et 15 000 AED pour la licence. Si vous visez le marché local avec une société Mainland, le budget grimpe légèrement, se situant souvent entre 12 000 et 20 000 AED.

N’oubliez pas que ce tarif couvre la création pure. Il faut ensuite ajouter les frais liés aux visas de résidence et à l’Emirates ID. Pour éviter les mauvaises surprises et obtenir un devis précis adapté à votre projet, n’hésitez pas à solliciter une simulation auprès d’experts comme le Clemenceau Group. 

Au-delà du soleil et du cadre de vie ultra-sécurisé, c’est l’environnement business qui attire. Vous bénéficiez d’une propriété étrangère à 100% de votre entreprise et d’une fiscalité personnelle imbattable avec 0% d’impôt sur le revenu. C’est l’endroit idéal pour optimiser ses gains tout en profitant d’une position géographique stratégique entre l’Europe, l’Asie et l’Afrique.

De plus, la flexibilité administrative est un atout majeur. Que ce soit pour sponsoriser sa famille ou développer son activité sans lourdeurs bureaucratiques, Dubaï offre une liberté d’action rare, surtout si vous êtes bien accompagnés pour la mise en place de votre structure. 

Il y a eu beaucoup de bruit autour de l’introduction de la « Corporate Tax », mais rassurez-vous, le système reste très avantageux. Le taux est de 0% sur les bénéfices annuels jusqu’à 375 000 AED (environ 95 000 €). Tant que vous restez sous ce seuil, vous ne payez pas d’impôt sur les sociétés.

Si vos bénéfices dépassent ce montant, seul l’excédent est taxé à un taux fixe de 9%, ce qui reste l’un des plus bas au monde. Attention toutefois, même si vous ne payez rien, l’enregistrement auprès de la Federal Tax Authority et la tenue d’une comptabilité sont désormais obligatoires.

La notion de « bien vivre » est subjective, mais il faut savoir que Dubaï peut s’adapter à plusieurs budgets. Cependant, pour vivre confortablement, couvrir son loyer, ses sorties et les frais de santé (l’assurance est obligatoire), un revenu mensuel minimum de 15 000 à 20 000 AED est souvent recommandé pour une personne seule.

Si vous comptez sponsoriser votre famille, les autorités exigent un salaire minimum (généralement 4 000 AED, mais c’est un seuil technique très bas par rapport au coût réel de la vie avec des enfants, notamment à cause des frais de scolarité). Prévoyez large pour profiter pleinement de ce que la ville a à offrir. 

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